Le Cercle: Press

- Pariscope
Let’s put it straight, the Tr’espace company regales us. At the crossing of circus and dance „Le Cercle“ is a very nice moment of visual theatre. Even if set in the half-light this show is brilliant and wraps us in a state of sensuality and wellbeing. The spectators sense of hearing and seeing is constantly mobilised, fascinated by theses talented artists. Petronella von Zerboni and Roman Müller play the diabolo. Their simple and poetic way to amuse themselves with the space, their bodies and the objects leaves the neophyte stunned. Behind them Mischa Blau plays on a double bass, a drum and little bells. His score of contemporary, experimental music doesn’t simply accompany this show. It’s an integrating part of it since “Le Cercle” goes quite far in its artistic expression. Beyond the performance it is the result of a real reflection over the designation of movement and rotation. It is the essence of a passionate research of the object diabolo as much as of it’s repeating movement and acoustical vibration.
November 7th, 2007 L. de R.

- Télérama - TTT
“Three artists create a stunning universe with diabolos and double bass in which the bodies put live to the objects in a playful game of shadow and lights. The virtuosity dissolves magnificently in the staging and the poetry of curves.“ November 7th, 2007 - France Inter, « Masque et Plume » „A very elegant trio, technically unmatched concerning the diabolo, a show for all ages, very beautiful and sensual“
November 4th, 2007 Charlotte Linpinska

- Pariscope.fr
„The technical skill is undeniable, but „Le Cercle“ seduces above all through its inventions and infinite playful variations“ „Tr’espace explodes the usual frame of this „prop“ making it real partner, harmonic and sensual.“
October 2007

- Le Parisien
„In « Le Cercle », Tr’espace puts the circle in a wonderful way on stage. Agility and rapidity are the keywords here. The stage transforms into a ring from which the circus emerges. It’s contemporary and poetic circus and its protagonist is the diabolo. A mixture of dance, music and juggling makes this innovative show a must for the whole family.”
November 4th, 2007

- MatinPlus
„a rare artistic symbiosis“ „an extraordinary show“
October 29th, 2007

- Le Limousin
„In Nexon I stepped in a magical circle…. …Petronella, Roman and Mischa truly bring live into their accessories and instruments of whom we almost think they are servants, that much they manage to create the illusion of them being alive. But in “Le Cercle” there is no disorder, there is harmony: Diabolo halves design magnificent and regular circles just to return into the hand that has thrown them. The diabolos themselves spin incessantly and return as through enchantment on the string from where they have been thrown. This show is far more then a style exercise, it is the revelation of a magnificent and pure universe that neither lacks confrontation nor humour. Bodies stripe one at another, dance lightly as acrobats over the stage and again and again, in wonderfully created light states appears a diabolo. Mischa Blau is the genius bass player of this show. Working his sounds with a loop station and exploring all tonal possibilities of his instrument he accompanies his two partners with power and skill: there is to say that he, too, develops on stage, even dances and juggles at times, to join the other two bodies into a very aesthetical ballet. Same as the diabolo, the double bass seems to have his own life, joining into the choreography with elegance. Other instruments contribute to the beauty this show: a little music box, that seems to remind us that we are in dream, colourful bells and a big drum floating from the sky, lit like the full moon shining outside the tent. It’s the pretext for an extraordinary moment where diabolos are caught and thrown in a duel of virtuosity. Up to the last scene, after many calls, the magic embraces us like a pleasant fog that stays with us for a long time, until later when we go to sleep still mesmerized of this wonderful show.”
Laurent Bourdelas, 20.08.2005

- Figaroscope Chorégraphie
Transposé de la piste au plateau du Théâtre du Ranelagh, Le Cercle es tune création exigeante, technique et inventive. Deux jongleurs de Diabolo (hautement récompensés dans les festivals du cirque internationaux) entrent en dialogue avec un contrebassiste, monté sur roulette. Dans une chorégraphie écrite au millimètre, l’oeil ne réussit plus à discerner aui est manipulé, de l’objet ou du corps. Si le début du spectacle, plutôt austère, est difficile d’accès pour le jeune public, la deuxième partie est riche de trouvailles visuelles et sonores. Un spectacle d’une grande élégance.
semaine du 31 octobre au 6 novembre 2007

- Stradda
Sobres et élégants, deux jongleurs tournent avec leurs diabolos sur la piste. En silence, ils maintiennent leur jouet, à hauteur constante, par simple effet gyroscopique. Sous la tension, la corde siffle et répond, en écho, à la vibration stridente d’une scie musicale, tapie dans l’ombre. Comme trois musiciens en prologue à leur concert, la compagnie Tr’espace accorde avec précision ses instruments, condition nécessaire avant le départ pour l’aventure. Depuis plus de sept ans, ces artistes font leurs gammes pour toujours mieux s’en affranchir et en questionner les limites. Le Cercle et leur troisième opus. Novateur, il chahute le regard, bouleverse les rôles des manipulateurs et des manipulés. Avec rigueur scientifique, Petronella von Zerboni et Roman Müller témoignent des possibilités infinies de leur diabolo. En le décomposant et en prolongeant son axe, ils créent des mouvements circulaires et linéaires qui strident l’espace en tout sens. Avec sa contrebasse montée sur roulette, Misch Blau, musicien génial et jovial, participe à cette chorégraphie qui défie les lois ordinaires. Les notes, elles mêmes, enregistrées sur une sound machine, rebondissent, comme autonomes, au rythme des corps et des objets. Enfin, rassasié par cette explosion d’énergie, le trio se love sous un gros tambour lumineux, cocon sonore et enfantin. Après s’être affronté, défié et surpassé, il se rassemble, apaisé, pour cohabiter en tout harmonie.
N°7 Janvier 2008 Dominique Duthuit

- Le Parisien
Tout le monde s’est un jour essayé au Diabolo. Ce qu’on oublie, c’est que ce drôle d’objet fait partie, au même titre que les balles, des exercices de jongle. Dans Le Cercle, la compagnie Tr’espace le met merveilleusement en scène. Ici, l’agilité et la rapidité sont les maîtres mots. La scène se transforme en piste et voici surgit le cirque. Le cirque contemporain et poétique, dont le personnage principal est un diabolo. Entre danse, musique et jongle, ce spectacle novateur est à voir en famille.
Dimanche 4 novembre 2007

- VSD
Le diabolo rebondit disparu des cours de récréation, le diabolo réapparaît sur scène. Il glisse, roule, sautille, bondit, se multiplie entre les mains de Petronelle von Zerboni et Roman Müller. « Le Cercle » décline toutes les possibilités offertes par cet objet, du jonglage à la manipulation. Le duo accompagne le glissé d’un pas de danse interagit avec le contrebasse, vu jusqu’à relever des sons. Un troisième larron, Mischa Blau, participe à cette étrange chorégraphie, faisant danser les notes et la contrebasse elle-même. Un pas de trois entre danse et cirque, d’une grande délicatesse, et subtilement mis en valeur par un formidable travail de lumière. C.J . du 7 au
13 novembre 2007

- Matinplus Théâtre - Danse, acrobaties et diabolo
Quiconque s’est essayé au diabolo a conscience de la difficulté de maîtriser un tel engin. Imaginez alors des artistes, à la fois danseurs et acrobates, évoluant en parfaitement harmonie, et qui jouent au diabolo. Vous obtenez une symbiose artistique rare. Ces compétences chorégraphiées font de Cercle un spectacle harmonieux et hors du commun.
29 octobre 2007