Duo Tr'espace: presse
- Pariscope.fr
Tr’espace explose le cadre habituel de cet « accessoire » pour en faire un véritable partenaire, harmonieux et sensuel. Caressés par d’élégantes lumières, les corps se mêlent, les diabolos s’envolent. De quoi éblouir petits et grands…séduire le jury de 25éme Festival Mondial du Cirque de demain….. et rabattre définitivement le caquet de Newton en deux temps trois mouvements. Novembre 2007
- Kaskade
« Connaissez-vous cela ? Vous voyez quelque chose et vous êtes bouche bée, vous ne pouvez plus bouger parce que la beauté du moment vous paralyse. Un moment si doux et si poétique qui vous donne la chair de poule. Vous avez des battements de cœur, mais d’une façon chaude et agréable. Comme des papillons dans le ventre, une euphorie positive. Vous savez que ce que vous avez devant les yeux est si beau que vous n’arrivez pas à le décrire. Et que vous ne voulez même pas le décrire. Ne laisse jamais ce moment prendre fin. Etre ici et maintenant vous fait monter les larmes de joie aux yeux, et c’est un sentiment similaire à celui du coup de foudre. On est à la fois abattu et heureux. C’est ce qui m’est arrivé en décembre dernier au Palazzo Colom- bino, à un dîner-spectacle à Fribourg. Sur la scène Tr’espace qui a montré un numéro de diabolo. Et c’est vrai, je suis tombé amoureux, parce que les 2 acteurs ont montré le numéro le plus beau et le plus innovant que j’ai pu voir dernièrement. Roman Müller et Petronella de Zerboni ont montré une nouvelle forme d’art et une nouvelle dimension du diabolo. Danse et mouvement, corps et accessoires en fusion. Les diabo- los sont dressés, joués horizontalement. Du coup, ils planent, ils ne font pas des mouvements permanents vers le haut et le bas. Ils sont en l’air, comme en apesanteur, libérés un court instant, envoyé en voyage et à nouveau rattrapé. Des baguettes volent, sont reprises, deviennent autonomes, sont accessoires et objet comme le diabolo. Les ficelles sont balancées autour du corps, les corps s’enlacent et ne font qu’un. C’est à vous couper le souffle. C’est beau, tout simplement beau. »
« Kaskade » Nr.75 (2004), Lais Franzen.
- Juggling
« Tr’espace (Roman Müller and Petronella von Zerboni) performed their magnificent Diabolo act. The couple, recently featured on the cover of Kaskade, has created quite a buzz since winning a silver medal at Cirque de Demain. With smooth and impossible moves, they express themes of couple hood not through stagy flirtation but just by supporting and touching each other as diabolists. The two met as students at the Scuola Teatro Dimitri in Switzerland. Their “horizontal diabolo playing” allows them greater freedom of movement and more dynamic imagery. This new technique, in which a diabolo stays in the upright hourglass position and is then looped and whipped in a horizontal plane, has already caught on and seems destined to change the face of the art. »
“Juggling” American Juggle Magazin Nov./Dez. 2004
- Théâtre-Danse.fluctuat.net
Drôle d'objet que ce diabolo qui tourne, virevolte, s'envole, revient sur son fil, sans jamais perdre sa légèreté aérienne. Tout un spectacle basé sur ce simple accessoire, ça semble improbable? Fou? En tout cas, la compagnie Tr'espace invente grâce à lui un langage technique et virtuose, soit, mais aussi poétique, foisonnant, amusant. Il s'agit de cirque bien sûr, de danse aussi, tant les corps de Petronella von Zerboni et Roman Müller, acrobates-danseurs diablement doués s'accordent au mouvement de leur instrument, le diabolo donc.
par Nedjma le 20.11.07
- American Juggle Magazien
«Closing the first half was Duo Tr'espace (Petronella von Zerboni and Roman Müller), two artistic diabolists based in Switzerland. They presented a powerful work of modern dance infused with cutting-edge diabolo moves. Their movements were lyrical, smooth, and deliberate, and their timing was impeccable. Some of their moves were so stunning and unexpected - say, exchanging his two-diabolo nurse for her single Excalibur, in an instant - that they live in memory more as magic than stagecraft. This was juggling at its very best: high art, a transforming experience. They received a lengthy and heartfelt standing ovation.
March/April 2006, Volume 8, by Jerry Martin.
- China Daily
« In the dim light, a woman and a man meet via the diabolos, or the Chinese yo-yo, in an infinite and closed space. With grace and dexterity, they spin the diabolos rapidly, twirling it round and round their bodies. The diabolos float in the air around them, sometimes hovering upright with the strings horizontal. They alternately release and catch the diabolos as their sticks fly, and they smoothly transfer the yo-yos to the other hand. Their bodies and their prop flow together along with the musical beats, making it seem that the performers and their diabolos are one.
The show, presented by Petronella v Zerboni from Germany and her Swiss partner, Roman Muller, has been seen as probably the most unique among the variety of programmes during the ongoing 10th Wuqiao International Circus Festival.
« China Daily », November 2, 2005
- Kaskade
« Für Jonglierfans ist die Diabolonummer unzweifelhaft der stärkste Moment. Ungewöhnlich originelle Bewegungen gepaart mit subtiler Choreographie. Ich muss zugeben, dass ich Diabolo nie auf so einem Level des Könnens gesehen habe »
« Undoubtedly the strongest moment, certainly for juggling fans, is the Diabolo act. Some splendid original moves linked together in a supple choreography. I must admit that I’ve never seen diabolo-playing at this level of skill. »
« Kaskade » Nr. 71, Denis Paumier
- Wordpress
Then there’s Tr’espace, the German/Swiss Diabolo Duo. They completely blew me away, both personally as well as professionally. Their act is by far the best Diabolo act I’ve ever seen and they’re such warm, friendly and interesting people! I can’t wait to meet them again.
schani. april, 2006